Je rentre d’un long voyage dans certaines de mes terres d’élection: Miami, Venezuela (Maracay) et Santiago du Chili. Un tel déplacement implique d’interminables heures d’avion. INTERMINABLES.

Heureusement, je m’étais muni d’un iPod. Modèle intermédiaire à 20Go de mémoire sur lequel j’ai transféré 2696 morceaux de musique de ma collection personnelle. De quoi m’occuper pendant plus de 8 jours sans discontinuer (si seulement les batteries de cette petite merveille étaient à la hauteur).

Le fait qu’il tienne dans une poche de chemise et qu’on puisse sans effort trouver les morceaux correspondant aux lubies d’un instant fait du iPod un objet différent de la plupart de ses concurrents.

J’ai d’abord essayé un autre appareil qui permet d’écouter la même musique avec la même qualité. Mais il est plus encombrant et d’usage moins commode. Il s’agit presque de deux objets différents.

L’esthétique d’Apple compte. Moins en l’occurrence que la facilité avec laquelle on peut utiliser le iPod (et moins encore, mais c’est une autre histoire dont nous reparlerons, que le modèle économique de iTunes).

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...