Le New York Times de lundi consacre un article à la difficile position des fabricants français de jeux: French Video Game Makers Fear Their Grasp Is Slipping.

D’une part, trois des dix premières compagnies mondiales de jeux vidéo sont basées en France.

D’autre part de nouvelles consoles préparées par Sony, Microsoft et Nintendo seront bientôt mises en circulation. Il en résultera une augmentation considérable des coûts de développement d’un jeu (jusqu’à 10 millions de dollars estime le quotidien new-yorkais). Dans un tel contexte il faut avoir les reins solides.

C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre l’acquisition de 20% des actions d’Ubisoft par le géant américain Ars Electronica. [***Correction: il s’agit bien sûr de Electronic Arts. Merci de me l’avoir signalé]

L’article signale l’ouverture récente de l’École Nationale du Jeu et des Médias Interactifs à Angoulême jugée indispensable pour préparer l’avenir.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...