Impossible aujourd’hui d’ignorer l’existence des ordinateurs, des téléphones mobiles, de l’internet et des caméras digitales (ou numériques).

Les plus réticents apprennent à s’en servir. Les plus aventureux y trouvent même de l’intérêt, voir du plaisir.

Les TIC (technologies de l’information et de la communication) font maintenant partie de la vie quotidienne d’une majorité d’entre nous qui ne les adoptent ni par passion ni par curiosité mais parce qu’elles leur permettent de faire plus, mieux, différemment… mettez l’adjectif qui vous convient.

D’où une certaine fascination avouée pour les récits de professionnels réticents qui finissent par se laisser convaincre. Elles me semblent plus illustratives et enrichissantes aujourd’hui que les discussions entre « early adopters », et autres passionnés de technologie toujours à la recherche de ce qui se fait de plus nouveau.

Je suis sûr que vous avez plein d’exemples de ce type. En voici un, tiré du New York Times de ce dimanche. L’article raconte comment Disney a décidé de renoncer au légendaire crayon de l’oncle Walt pour faire ses desseins animés sur ordinateur. « Chicken Little », le premier film réalisé de cette façon sortira le 4 novembre.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...