John Schwartz écrit dans le New York Times sur les questions de technologie. C’est aussi un père attentif. Quelques temps après que son fils aie Son fils ayant ouvert un compte sur Facebook (le MySpace des collégiens), il a « par hasard » découvert sur le site du gamin des « blagues » (c’est du moins ce qu’il espère) plus ou moins grivoises, des histoires d’alcool… autant de choses vraiment inquiétantes!Très cool, le papa (qui a obtenu un compte par son journal) s’est alors inscrit comme « ami » de son fils (et de sa fille). Il a bien le droit, après tout, de savoir ce ces jeunes gens jugent bon de rendre public. Et il le leur a dit.Ok dit le gamin. No big deal (ou quelque chose d’approchant). Mais la réponse du fiston branché au papa curieux ne s’est pas faite attendre. Il a invité tous ses copains à s’inscrire comme « amis » du paternel et à le bombarder de courriels.C’est ce que Schwartz appelle maintenant le « friendbombing ». Il n’a pas trouvé ça drôle du tout.Moi si… (qu’il me pardonne). J’ai surtout trouvé ça moral et une bonne illustration des retournements de pouvoir possible sur le web.Et vous? Qu’en pensez-vous? Que faites vous avec vos enfants? Avec vos adolescents?(Précision: j’ai interviewé ma fille et une de ses amies sur leurs comptes MySpace. J’ai écrit un billet dessus en les citant… et je n’y suis jamais retourné)

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...