Pas si vite, explique Peter Glaskowsky sur un blog de C|Net. Après avoir refait tous les calculs il conclue que seuls les milliardaires de Silicon Valley peuvent se l’offrir et que ça dégagera tellement de chaleur qu’ils devront s’en servir pour chauffer leurs voisins (et, pourquoi pas, les plages proches et froide du Pacifique?).
Selon Rod Adams, le réacteur en question correspond à un projet lancé en 1998 par le Japan Atomic Energy Research Institute (JAERI) sous le nom de Rapid-L .
On ne devrait pas tarder à voir puisque la nouvelle originale annonce sa mise en service au Japon en 2008. Les États-Unis et l’Europe devraient suivre en 2009.