Ce deuxième chapitre pose la question de l’innovation, de sa définition, de comment l’aborder.
Le premier était une série de vignettes montrant –innovateurs à l’appui – qu’on innove partout dans le monde et dans tous les domaines des technologies de l’information qui nous intéressent.
Celui-ci – toujours sous forme de vignettes dont plusieurs n’ont jamais été publiées – part de la difficulté que j’ai ressentie de trouver la bonne question à poser à mes interlocuteurs de par le monde. Au départ Innover c’est copier. Puis c’est adapter. Puis… laissons Adnane Charafeddine de Casablanca nous expliquer comment il pose et résout le problème.
Steven Johnson – dont je recommande fortement la lecture – nous explique ensuite d’où viennent les bonnes idées. Pas d’Eurekas mais de longues intuitions patiemment travaillées.
Vient ensuite une définition de l’innovation alimentée de quelques lectures et de près de 300 interviews. C’est un nouvel assemblage d’éléments qui ne sont pas tous nouveaux et – c’est l’essentiel – ça n’est pas qu’une question de technologies.
Il est évident que, des micro-innovations requises par toute adaptation aux innovations perturbatrices ou radicales, il y a tout un champ que je m’efforce de rendre clair et compréhensible.
Autre vignette : l’histoire de Yuri Lifshits de Saint Petersburg qui veut bousculer l’éducation en s’inspirant d’Apple et d’Ikea.
Je montre ensuite de quoi sont faites les opportunités digitales ce qui permet de mieux les saisir.
Le chapitre se termine par la méthode d’Otavio Good, un geek issu de Stanford dont l’application traduit instantanément toutes les images. Nous savons tous depuis Alan Kay qu’une innovation radicale n’est pas facile à distinguer de la magie. Otavio nous explique la méthode de sa magie.
Bonne lecture et… à dans 15 jours pour la suite.
Le troisième chapitre portera sur la création – possible ? – d’autres Silicon Valleys…