« Le prix dela musique qu’on télécharge est fixée à un niveau qui inclue le coût defabrication et de transport d’un CD, » a déclaré Aziz au New York Times. « vouspouvez être certains que l’argent qu’ils économise ne revient pas aux artistes. »
Comme toujoursdans la grande presse américaine, l’article est balancé et cite un critique quil’accuse de ne pas seulement « voler aux riches. »
Mais Aziz a lapart belle avec plusieurs citations dont « l’internet joue le même rôlepour ma génération que les librairies bibliothèques ont pu jouer pour les générations antérieures. »
Il est égalementsoutenu par les propos de Julien Dourgnon, de l’UFC-Que Choisir pour qui « Ilest peut être encore au Lycée mais Aziz a une compréhension plus profonde deslois sur le copyright que la plupart des avocats et des membres du parlement. »Sa vraie force, selon Dourgnon est que « Toutes les parties prenantesdoivent écouter Aziz parce qu’il a toute une génération derrière lui. »
[La photo a étéprise par l’auteur de l’article Thomas Crampton du International Herald Tribuneet publiée par le New York Times]