Ils sont généralement écrits par des romancières débutantes et s’adressent principalement aux jeunes filles. Ils racontent le plus souvent des histoires d’amour, de sexe et de drogues vécues par des adolescents.
La première version est conçue pour être lue sous forme de très courts épisodes sur un téléphone mobile. Le Sydney Morning Herald, qui donne l’information , souligne en outre que les lectrices achètent la version papier notamment parce qu’elles ont envoyé leurs commentaires à l’auteure et qu’elles considèrent avoir participé au livre.
Les tenants de la littérature japonaise traditionnelle s’inquiètent du recours aux phrases ultra courtes parsemées d’émoticons. Certains d’entre eux saluent pourtant la contribution de cette nouvelle forme à l’évolution du langage.
Duncan Riley, qui reprend la nouvelle dans TechCrunch, n’imagine pas un tel phénomène en occident mais rappelle que le Japon est souvent en avance de dix ans dans ce genre d’évolution culturelle liée à la technologie.
Cette nouvelle est une de celle qui m’a le plus impressionné au cours des dernières semaines. Qu’en dites-vous?
[Image Wikimedia Commons ]