Le ministre de lajustice et le directeur du FBI  sont entrain de sonder les fournisseurs d’accès et les gros moteurs de recherche pourvoir jusqu’à quel point ils sont disposés à les aider dans leur effort desurveillance croissante.

Ils veulent queles compagnies en question (MSN, Google, AOL, AT&T, etc.) gardent pendantdeux ans les informations concernant les pages visitées par leurs usagers, lestermes utilisés dans leurs requêtes et le nom des personnes avec lesquelles ilsont échangés des courriels.

Et si lescompagnies font la sourde oreille, le gouvernement risque fort de faire passerces mesures sous forme de loi.

Les motifs avancéssont connus. Mais l’intention de fond va beaucoup plus loin et les autorités admettents’intéresser à la propriété intellectuelle, entre autres.

Présent à larencontre de vendredi Marc Rotenberg, directeur du Electronic PrivacyInformation Center a déclaré au New York Times: « Il était évident qu’ilsiraient au-delà de la pornographie infantile et du terrorisme et s’enserviraient pour le maintien de l’ordre au sens large du terme. »

[Étude de Warren Sack sur la visualisation d’une conversation par courriel]

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...