La journaliste Rachel Mosteller a été licenciée par le Herald-Sun de Durham en Caroline du Nord pour avoir écrit (sans donner aucun nom) qu’elle détestait son lieu de travail.
Michael Hanscom qui travaillait comme intérimaire pour Xerox sur le campus de Microsoft, n’a pu résister en voyant un chargement de Macs en train d’être livrés. Fan d’Apple, il a pris une photo et l’a mise sur son site. Comme il l’avait fait en dehors de ses heures de boulot il n’a pas été viré mais il s’est vu interdire l’accès du domaine de Bill Gates.
L’hôtesse de l’air Ellen Simonetti a été mise à la porte par Delta Airlines pour avoir mis en ligne cette photo d’elle dans un avion vide.
Il en fallait plus pour intimider la Queen of Sky qui a intenté un procès à son ex employeur et contribué au lancement d’un Comité pour protéger les blogueurs (notamment des iraniens emprisonnés en raisons de ce qu’ils disaient sur la toile).
Rebecca Blood, auteur du « Weblog Handbook », suggère que les entreprises adoptent une politique claire en la matière, de la même façon qu’elles ont été amenées à le faire pour le courriel. D’une façon plus générale, nous avons tous intérêt à ne pas oublier que tout ce que nous faisons ou « disons » sur l’internet laisse des traces.
C’est pas une raison pour se taire… n’est-ce pas ?