Pour ceux quil’ignorent, les capital risqueurs sont des gens qui font des fortunes (devraies fortunes) en investissant très tôt dans des start-ups prometteuses qui,quand elles arrivent à Wall Street leur permettent de ramasser plusieurs fois(y compris des dizaines, voir des centaines de fois) leur mise.

La femme de l’und’entre eux, propose maintenant d’utiliser le modèle pour venir en aide auxprogressistes.

Très active surle front de la culture et de la philanthropie, DeborahRappaport vient de créer la New Progressive Coalition – basée au sud de SanFrancisco – qui est en fait une sorte de bourse des valeurs pour ce quis’imagine et se fait de mieux à gauche.

Tout passe par un site web où les gens qui cherchent à aider les organisationsde gauche peuvent leur envoyer de l’argent. Un article du Mercury News expliqueque:

Donors are called« investors. » Political activists are running « start-ups. » The goal is toget the money to the brightest ideas. And, just like eBay and its well-honedfeedback system, the members will rate ideas and organizations on thecoalition’s Web site.

Le mécanisme imaginé par Deborah Rappaport devrait permettre aux petitsdonneurs de participer au financement d’incitatives nouvelles. Les associationsayant des idées originales ont ainsi une chance de trouver les fonds dont ellesont besoin.

J’ai du mal àimaginer un tel mécanisme en Europe, mais je me trompe peut-être.

Dites-le moi sitel est le cas, mais surtout, dites-nous si l’idée vous choque ou vous plaît etpourquoi.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...