J’y vois un exemple de quelqu’un qui après avoir loupé son cou coup, prend acte publiquement, s’efforce d’ouvrir un débat intéressant et continue.
Elle ajoute quelques réflexions utiles sur l’impact de la participation des gens par un flux Twitter qui apparaissait derrière elle mais qu’elle ne voyait pas.
The stream was not a way for the audience to communicate to the speaker, but for the audience to communicate with itself. Lots of folks have talked about making the stream available to the speaker. Have any of you seen ustream? This is filled with « speakers » reading the stream and it’s very choppy. There’s no way that a speaker can simultaneously consume a stream and convey a message. Sure, a message every 30 seconds or so, no problem. But a stream? No way. And certainly not a long message… and, on stage, 140 characters is long.
Ça mérite qu’on s’y arrête dans la mesure où c’est le genre de problème auquel on se heurte quand on ne réfléchit pas aux conditions de la participation.
L’objectif est de créer un meilleur dialogue entre orateur et audience (clairement « ex audience » dans ce cas). C’est sans doute moins évident que nous aimerions. Il est important de trouver la bonne formule.
Laquelle avez-vous en tête? Que pensez-vous de ce genre de pratique de plus en plus répandue?