Les informations proviennent de sites spécialisés (New York Post, par exemple, des blogs, etc.). Elles sont (pour le moment en tous cas) sélectionnées par le système et pas par les usagers qui peuvent cependant voter pour elles: 5 marionnettes au lieu des pouces levé ou baissé de Digg.
Astuce à retenir pour les agrégateurs: quand l’usagère clique sur le titre d’un article elle voit la page originale, mais l’URL qui apparaît dans le navigateur renvoie à une adresse MySpace. Ainsi ceux qui l’envoient à d’autres les dirigent vers MySpace et non pas vers la page en question. Celle-ci est cependant accessible grâce à une mini icône représentant deux anneaux d’une chaîne.
La page avec l’article apparaît sous un bandeau sur lequel on trouve trois liens d’articles traitant de sujets proches et les 5 marionnettes permettant de voter.
Les infos sont divisées en 24 catégories. Elles sont complétées de nouvelles locales concernant 12 villes américaines.
MySpace est un des sites les plus visités du monde (quand il n’est pas le premier), et pourtant, les premiers articles de la page d’accueil ne recueillent pour le moment que un ou deux, parfois trois votes. Ça ne devrait pas durer.
Pour le moment, la grande faiblesse apparente tient à ce qu’il s’agit d’une copie bancale de Digg. Les usagers ne peuvent pas encore proposer d’articles, ni les discuter. Ils ne savent pas ceux qui branchent leurs pairs… Le software social est ainsi limité à sa plus simple expression.
A ceux qui se demandent pourquoi un tel service sur MySpace, la réponse est bien simple: il s’agit de garder les usagers sur le site en leur offrant des nouvelles qu’ils seraient tentés sans cela d’aller chercher ailleurs. Ça leur arrive, bien sûr.