Un peu de dérégulation, un « filet social » solide et des lignes à haut débit expliquent ce succès qui devrait inviter les Américains à ne pas prendre trop au sérieux leurs politiciens qui ne cessent d’utiliser le modèle européen comme un repoussoir.
Il rappelle qu’il y a 10 ans on ne trouvait un ordinateur que dans moins de 15% des foyers français alors qu’un sur cent à peine était connecté à l’internet. Mais l’ère du dial-up dominée par les U.S.A. a été remplacée par celle du broadband. Or, en Europe:
The number of broadband connections per 100 people in the 15 countries that were members of the European Union before it was enlarged in 2004, is slightly higher than in the U.S. — and Europe’s connections are both substantially faster and substantially cheaper than ours.
Le reste aussi vaut la peine…