Il distingue de façon éclairante ses pratiques professionnelle (plus efficace grâce aux lecteurs de flux RSS), intellectuelle/sociale (plus ouverte grâce aux réseaux sociaux – voir la vidéo) et privée (contrôlée et active) dont il précise que:
« Because the capture and sharing of such intimate media is so much easier than it ever was, I spend much, much more of my media time immersed in them. Where do I find this time? Easy. As Clay Shirky has been saying for years: We have a surplus of time, once we get rid of the crap in our lives. »
Il n’a pas de télé et ne lit plus de journaux-papiers mais ne croît pas pour autant à une vraie crise des médias… sauf pour ceux qui en possèdent et, hélas, pour un trop grand nombre de journalistes qui perdent leur emploi. Pas grave pour la société, dit-il.
Ce qui compte c’est qu’il est mieux informé et que l’essentiel ne vient plus des journalistes. Détail à ne pas manquer, il fait plus de places aux conférences TED, aux thinktanks et aux universités qu’au crowdsourcing.
Et vous… comment jugez-vous l’évolution de votre consommation des médias.