Il aurait un écran de 9,7 pouces (un peu moins de 25cm en diagonale) sensiblement plus grand que la version antérieure (un peu plus de 15 cm).
A la différence des deux précédents, il pourrait permettre les connections WiFi ce qui le rendrait beaucoup plus utilisable et permettrait son utilisation hors des Etats-Unis.
La première annonce, faite par le New York Times (qui serait partie de l’opération), a fait frémir les journaux d’aise car un écran plus grand permet d’insérer de la pub.
Mais le lancement doit se faire dans à l’université Case Western Reserve de Cleveland ce mercredi et le Kindle DX semble tout aussi conçu pour les manuels scolaires et universitaires que pour les périodiques.
La taille de l’écran (qui permet aux journaux d’envisager de la pub) permet notamment de publier les graphiques et les tableaux dont sont remplis les livres scientifiques.
Amazon a passé accords avec plusieurs éditeurs et, selon le Wall Street Journal, au moins une université s’apprête à distribuer des Kindle DX à certains étudiants et à comparer leurs résultats avec ceux obtenus par les autres.
Des expériences réalisées ailleurs avec le Sony Reader avaient donné des résultats peu encourageants , en raison notamment du manque de navigabilité. Le Kindle 2 est déjà bien plus maniable que la première version. On peut espérer que le DX sera encore supérieur. Il est question d’un navigateur plus performant ce qui ne serait pas une mauvaise chose.
Je crois plus au succès de son utilisation sur le marché énorme des livres scolaires qu’au rôle déterminant d’un tel appareil pour sauver les journaux.
Il suffit de convaincre un nombre limité de responsables institutionnels (et non pas un nombre considérable d’utilisateurs).
Cela permet aussi de mettre à jour les manuels chaque année sans devoir les réimprimer.