Il s’agit d’unesimulation (baptisée « Global e-Voting Simulation ») pour tester »les possibilités et les limites d’un système démocratique globaldirect » m’a expliqué Marsden par courriel. L’expérience, ajoute-t-il »aspire seulement à mesurer la portée de l’internet comme un instrumentparmi d’autres pour étendre le suffrage universel à tous les hommes et toutesles femmes de la planète. »
L’objectif decette première tentative est d’avoir au moins une connexion par pays et, àquelques heures du démarrage, Marsden affirmait en compter 187. Un recherchesur votre moteur favori vous montrera que plusieurs réseaux tels que GlobalKnowledge Partnership et Development Gateway se sont intéressés à l’initiative.
Les participantssont appelés à se prononcer sur trois sujets essentiels partout: la santé,l’accès et la violence avec des questions du genre: « devrions nousrésoudre nos conflits sans violence, une fois pour toute »? N’hésitez nisur la réponse ni sur la valeur de la question. Après tout, il s’agit seulementd’un test.
L’idée me paraîtassez folle et sympa pour en parler sur Transnets, mais qu’elle aie lieu auniveau global me gène. Très peu de « choses » sont globales. Un grandnombre de problèmes, de relations, de situations peuvent-être considérés comme »transnationaux » et, plus encore de « translocaux » un termeextrêmement utile aujourd’hui.
Et puisl’internet n’est pas encore assez répandu pour qu’une telle consultation aie lamoindre valeur.
Mais, ces raisonssont-elles suffisantes pour ne pas essayer?
Qu’en dites-vous?Qu’en attendez-vous?