informationoverload-416style.1257758556.jpg Construire sa pensée (une partie en tous cas) sur la base de paradoxes solidement établis m’a toujours semblé un exercice salutaire. C’est ce que vient de faire Joshua-Michéle Ross dans trois billets publiés sur le blog Radar (d’O’Reilly).

Ses affirmations sont volontairement à l’emporte pièce et les arguments sont plutôt courts (à dessein peut-être). Jugez par vous même.

Le premier point me semble carrément erroné. Il serait intéressant de faire la preuve du second. Quant au troisième c’est clairement un des espaces sur lesquels nous devons mener les luttes les plus têtues.

Ces trois billets ne me convainquent donc pas vraiment, mais ils s’inscrivent dans une démarche essentielle: ne pas prendre au pied de la lettre l’enthousiasme naïf avec lequel ses copains, lui-même et toute la clique à laquelle j’appartiens écrivent sur les TIC.

Il est grand temps de s’interroger sur les coûts de cette évolution pour mieux œuvrer à les réduire.

Dans un tel état d’esprit, il est évident que les paradoxes (ou les risques de fond) sont bien plus que trois… Lesquels ajouteriez-vous?

[Photo Flickr de 416style ]

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...