Jokerfromoldbooksorg_1 Numériser leslivres (voir ces billets sur « Le futur du livre » -1-, -2-, -3-, -4-, -5-) est une excellente chose. Mais on entend peut parlerde la qualité du travail. Elle n’est pas nécessairement bonne. La vertu de cebillet trouvé sur le blog de Tim O’Reilly est précisément de poser le problème.

Il a en outre l’avantagede nous introduire à Distributed Proofreaders (Correcteurs distribués) ungroupe de volontaires qui vérifie les textes mis en ligne dans le cadre duProject Gutenberg (le plus ancien projet de digitalisation de livres. 19.000 ouvragesdu domaine public qui peuvent être téléchargés gratuitement).

Invitée d’O’Reilly,Juliet Sutherland écrit:

If I were incharge of setting up a new, large, book image archive associated with a majorlibrary, one of the things that I’d be quite concerned about iscompleteness/usableness of the images provided. Yet I see little, if no,discussion about this in the context of current mass digitization efforts.

Gallica est mentionnée dans les exemples qu’elledonne:

Our experiencewith various (book page) image archives suggests that those archives associatedwith libraries are usually reasonably good. Books from Gallica and Canadianaare rarely missing pages, although some of the older scans are of quite lowquality and are thus useless for our purposes.

Que pensez-vousdu problème de la qualité des versions mises en ligne et de l’effort « distribué »pour l’améliorer?

 

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...