L’expression està la fois commode et trompeuse. Tout le monde l’utilise pour désigner – en gros– une version améliorée, actualisée du web (post bulle), mais personne n’estd’accord sur la définition.
Plutôt que dechercher à en donner une (ce qui serait sans doute contraire à l’esprit même dece qui est en question) procédons par petites touches « lâchement liées »entre elles (« loosely coupled », métaphore qui, en l’occurrence, vadroit au cœur de notre sujet).
Le premier pas,très concret, consiste à rendre visite (à retourner pour nombre d’entre vous) àdes sites dont nous avons déjà parlé et qui offrent tous des applicationsconçues pour fonctionner sur le web. Flickr, par exemple, permet d’héberger desphotos, de les partager avec d’autres de les classer en fonction des humeurs dechacun grâce à des tags ou étiquettes. Même chose avec del.icio.us, si ce n’estqu’il s’agit d’adresses de pages web, les vôtres, celles de vos amis, ou cellesd’étrangers dont vous appréciez les choix.
Grâce à sasimplicité, Google Maps nous donne des cartes agréables à lire. Détailessentiel, les données qu’elles fournissent peuvent être utilisées dans demultiples combinaisons qu’il s’agisse des maisons en vente dans un quartier(HousingMaps) ou des blogueurs par thèmes (restaurateurs de maisons parexemple).
Ces sites connussont considérés comme les exemples les plus illustratifs de ce qu’il estconvenu d’appeler Web 2.0. Pour aller plus loin il faut parler technologie,business et société.
Je parleraidemain de quelques unes des techniques qui caractérisent Web 2.0.
PS – Après avoir choisi cette photo un peu au hasard, j’ai essayé d’en savoir plus sur lle photographe. Il a des prises super sur Flickr, comme sur son propre site.