Les deux Michaelavaient beaucoup à dire sur l’état de Web 2.0. J’ai apprécié, en particulier,le commentaire d’Arrington sur Digg qui, à la différence du New York Times, nedécide pas quelles nouvelles mettre en haut de page (ce sont les lecteurs quidécident). Mais, a-t-il ajouté, « Si ça marche [comme tout l’indique pourle moment] ils laisseront le New York Times, loin derrière dans les mois quiviennent ».
De Parekh j’airetenu les cinq questions qu’il se pose concernant les tendances du moment.
1) Jusqu’oùle sans fil et les lignes à haut débit s’étendront ils?
2) Aquelle vitesse les consommateurs moyens peuvent-ils absorber la complexité etla multiplicité des options qu’on leur jette à la figure?
3) Combienles consommateurs paieront-ils en abonnement, services à la carte ou attention?
4) Quelleproportion du marché les entreprises américaines sont-elles capables de garderou de conquérir au niveau mondial.
5) Commentnavigueront-nous entre les accidents de terrains de la régulation?
Chacune d’entreelles mérite réflexion.
L’autre aspectintéressant de ce podcast est affaire de format.
Il s’agissaitd’une conférence traditionnelle (si l’on oublie qu’elle réunissait sans doutequelques milliers de personnes dispersées de par le monde). Les deux invitésont commencé par une courte exposition chacun avant de répondre aux questionsposées par la salle virtuelle.
Le dialoguehorizontal était totalement absent de la partie que j’ai écoutée. Je ne suispas sûre qu’il soit recherché, ni même qu’il soit techniquement possible.
Pour écouter ilfallait se connecter (gratuitement) par téléphone. Je crois que certains deceux qui habitent en dehors des États-Unis se sont connectés par SkypeOut.
Toutes ces vertusne peuvent m’empêcher de préférer Skypecast. Pour une seule raison: la relationne se fait pas seulement entre le modérateur et l’audience. Elle est aussihorizontale. Ça représente un vrai changement.